Après la brutalité animale, place à la grasse, pardon, la grâce des jolies naïades de Fufuna. Dans le public qui se masse courageusement autour du terrain, les femmes tremblent pendant que les jeunes hommes s'évanouissent...
<br />
fi des femelles décharnées vive les belles un tantinet rondelettes chantait l'ami georges...ça dépend ou on se met le tantinet!<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Tu te le met où tu veux. Par exemple, là où ta matière prend toute la place du récipient.<br />
<br />
<br />
<br />
T
Tazar séniors
25/05/2010 17:09
<br />
Réflexion faite, j'ai tout compris ! Félicitations pour ce reportage magnifique, tout en poids, force et naturel. Depuis la nuit des temps, c'est comme cela que toute création commence !<br />
<br />
<br />